Mes expertises sont étroitement liées à mon parcours professionnel. Elles résident dans une approche personnelle du monde de la santé : une vision à 360 degrés, où la communication n’est pas une fin en soi mais un moyen de transmettre les valeurs d’une entreprise.

Santé

Je connais le monde de la santé « de l’intérieur » comme peu de gens en France – et j’assume cette absence de modestie. Parce que ce milieu m’est familier (deux parents médecins, un frère kinésithérapeute) mais surtout parce que, pendant trente ans, j’ai exercé le métier de journaliste dans ce secteur si particulier, où les enjeux sanitaires, humains, politiques et économiques se croisent et s’entremêlent, parfois dans la cohérence, souvent dans la contradiction.

Vision à 360 degrés

Parce que les questions de santé dépassent à mes yeux le strict champ de la médecine, j’adopte une vision à 360 degrés, même si la demande exprimée est circonscrite, voire simple en apparence. Conscient que les enjeux sont multiples, et les « solutions » rarement univoques, je privilégie l’approche systémique, car plus qu’une autre, elle permet de regarder la réalité dans toute sa complexité.

Cette vision à 360 degrés exige aussi de prendre en compte tous les aspects d’une problématique donnée et, donc, d’intégrer aux attentes exprimées les enjeux sous-jacents : économiques, sociologiques, politiques, réglementaires…

Pour ce faire, l’expérience de terrain ne saurait suffire à elle seule. Au médecin, j’emprunte l’art du bon diagnostic. A l’enseignant, la volonté de transmettre et de partager en confiance. Au psychologue, le désir de comprendre l’autre « de l’intérieur ». A l’avocat, la conviction que la loyauté et la morale ont toute leur place dans une entreprise.

Communication

Du journalisme, j’ai conservé des exigences qui guident aujourd’hui mon approche :

  • Écouter le point de vue de son interlocuteur.
  • Comprendre ses attentes, les faire miennes sans trahir ses propos.
  • Mettre ces attentes à l’épreuve du réel, et pour cela confronter constamment les idées aux faits et les faits aux idées.
  • Faire preuve de courage (questionner les certitudes) et d’humilité (entrevoir les difficultés).

Du journaliste, j’ai également gardé des qualités que je mets désormais au service de mes convictions : fiabilité, réactivité, curiosité, esprit de synthèse. A cela, j’ajouterais la disponibilité, la créativité et le souci, constant, de mettre du sens dans mon travail.

Je garde toujours à l’esprit que la communication est un art difficile, et ce quelle que soit la bonne volonté de chacun. Ainsi, il ne suffit pas de dire les choses pour qu’elles soient acceptées. Ou comprises. Voire seulement entendues… Pour être efficace, une communication doit intégrer tous ces paramètres – et c’est encore plus vrai pour la communication stratégique et corporate !